Long week-end
Joyce Maynard
Affiner le résultat de recherche avec le type de document Livres Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document Long week-end 2009Nombre d'avis des professionnels sur le document Long week-end.1 avis pro.Note moyenne des avis des professionnels sur le document Long week-end.Nombre d'avis des abonnés sur le document Long week-end.3 avis abonnéNote moyenne des avis des abonnés sur le document Long week-end.Rechercher tous les documents ayant comme Genre: RomanRechercher tous les documents ayant comme Centre d'intérêt: AdolescenceRechercher tous les documents ayant comme Centre d'intérêt: Famille monoparentaleRechercher tous les documents ayant comme Centre d'intérêt: Mère // FilsRechercher tous les documents ayant comme Centre d'intérêt: Littérature américaine
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Exemplaires
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Description
- Titre(s)
- Long week-end
- Auteur(s)
- Joyce Maynard (Auteur)Françoise Adelstain (Traducteur)
- Collation
- 1 vol. (285 p.) ; couv. ill. en coul.
- Centre(s) d'intérêt
- AdolescenceFamille monoparentaleMère // FilsLittérature américaine
- Année
- 2009
- Genre
- Roman
- Identifiant
- 2-8487-6155-5
- Langue(s)
- français
- Prix
- 19 EUR
- Editeur(s)
- P. Rey
Avis
Des professionnels
le 20 juillet 2011
Long week-end
Un roman à la grandeur d'âme ponctuée de drôleries et de souffrances. Une belle histoire, très visuelle, sur le huis clos d'un adolescent et de sa mère, troublé par un "invité" particulier, le temps d'un week-end. LE CLUB DES LECTEURS
Des lecteurs
le 07 août 2013
Lon week-end
Très beau roman. Joyce Maynard est "MA" découverte de l'été. GP
le 14 novembre 2016
Long week-end
Un troublant huis-clos dans une troublante famille, où une rencontre va influencer les destins des personnages. C'est difficile de résumé un si bon récit alors je vous laisse le découvrir. On dévore les 285 pages en une bouchée le temps d'un week-end. LCS
le 31 décembre 2021
Chronique d'un retour possible à la vie
Ce roman est la très belle histoire de 6 jours de cohabitation forcée entre une mère dépressive, son fils solitaire et perturbé et un taulard en cavale qui les prend en "otages" chez eux pendant un très long week-end de canicule, dans une banlieue américaine, le temps de se reposer de son évasion.
Le récit, mené par le jeune garçon, nous raconte les bouleversements progressifs de leur quotidien qu’entraîne cette intrusion, en contraste total avec la banalité et la solitude de la vie qu’ils menaient depuis le départ du père et le naufrage phobique de la mère ; l’arrivée de cet homme simple, joyeux, positif, dynamique les ramenant tous les deux à la vie et leur faisant entrevoir la possibilité de redevenir une femme aimée, un enfant heureux et, pourquoi pas, une famille normale. Même si, au yeux du jeune garçon, comme tout va trop vite (le temps d’un week-end !), la jalousie peut s’inviter dans l’équation !
Bref, un livre vivant, bien écrit, qui nous tient en haleine jusqu’à la fin, car il se déroule comme dans une bulle de normalité artificielle, (la maison), entourée d’un cadre qui ne l’est pas du tout, (la ville à la recherche de l’évadé), et qui peut donc éclater à chaque instant.
Le récit, mené par le jeune garçon, nous raconte les bouleversements progressifs de leur quotidien qu’entraîne cette intrusion, en contraste total avec la banalité et la solitude de la vie qu’ils menaient depuis le départ du père et le naufrage phobique de la mère ; l’arrivée de cet homme simple, joyeux, positif, dynamique les ramenant tous les deux à la vie et leur faisant entrevoir la possibilité de redevenir une femme aimée, un enfant heureux et, pourquoi pas, une famille normale. Même si, au yeux du jeune garçon, comme tout va trop vite (le temps d’un week-end !), la jalousie peut s’inviter dans l’équation !
Bref, un livre vivant, bien écrit, qui nous tient en haleine jusqu’à la fin, car il se déroule comme dans une bulle de normalité artificielle, (la maison), entourée d’un cadre qui ne l’est pas du tout, (la ville à la recherche de l’évadé), et qui peut donc éclater à chaque instant.