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Couverture de Dévorer le ciel

Dévorer le ciel

Paolo Giordano

Dix ans après La Solitude des nombres premiers, un adieu à la jeunesse dans un bouleversant roman d'amour et d'amitié. Chaque été, Teresa passe ses vacances chez sa grand-mère, dans les Pouilles. Une nuit, elle voit par la fenêtre de sa chambre trois garçons se baigner nus dans la piscine …

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Exemplaires

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Description

Titre(s)
Dévorer le ciel
Auteur(s)
Paolo Giordano (Auteur)Nathalie Bauer (Traducteur)
Collation
1 vol. (453 p.)
Centre(s) d'intérêt
Littérature italiennePouilles (Italie)Roman initiatiqueAmour de jeunesse
Année
2019
Genre
Roman
Identifiant
2-02-122075-3
Langue(s)
français
Résumé
Dix ans après La Solitude des nombres premiers, un adieu à la jeunesse dans un bouleversant roman d'amour et d'amitié. Chaque été, Teresa passe ses vacances chez sa grand-mère, dans les Pouilles. Une nuit, elle voit par la fenêtre de sa chambre trois garçons se baigner nus dans la piscine de la villa. Ils s'appellent Nicola, Bern et Tommaso, ce sont " ceux de la ferme " d'à côté, jeunes, purs et vibrants de désirs. Teresa l'ignore encore, mais cette rencontre va faire basculer sa vie en l'unissant à ces trois " frères " pour les vingt années à venir, entre amours et rivalités, aspirations et désillusions. Fascinée par Bern, personnage emblématique et tourmenté, viscéralement attaché à la terre somptueuse où il a grandi, elle n'hésitera pas, malgré l'opposition de sa famille, à épouser ses idéaux au sein d'une communauté fondée sur le respect de la nature et le refus du monde matérialiste, à l'image de la génération des années 90, tiraillée entre le besoin de transgression et le désir d'appartenance, mais entièrement tendue vers l'avenir, avide de tout, y compris du ciel.
Prix
22,50 EUR
Editeur(s)
Le Seuil

Avis

Des lecteurs

Par Nadine
le 06 novembre 2019
Un vrai coup de coeur pour moi. J'avais beaucoup aimé "La solitude des nombres premiers" de ce jeune auteur italien. Mais ici, j'ai été littéralement transportée par cette histoire qui tourne autour de la jeune Teresa. Elle a environ 16 ans au début de l'histoire, et nous allons la suivre pendant une vingtaine d'années. Adolescente, elle passe ses vacances dans les Pouilles, chez sa grand-mère. Un soir, elle va faire la connaissance de trois frères, les voisins de la ferme d'à côté. C'est le moment décisif de sa vie. Nous allons ensuite suivre ces jeunes gens et particulièrement Teresa, et partager le temps des désillusions. Les portraits sont très soignés et très mitigés, comme si l'auteur s'appliquait à nous faire comprendre qu'il est difficile de connaître nos proches, y compris ceux que l'on aime passionnément. J'ai passé 5 heures d'affilées avec ce roman dans les mains, à partager, vibrer, pleurer, rêver, compatir aussi.
Merci Monsieur Paolo Giordano pour ces heures de lectures délicieuses et ce bien être mélancolique qu'il m'a procuré.
Éblouissant !
Par Françoise
le 25 novembre 2019
Un très beau roman, riche de tellement d’événements, reflet de la vie de jeunes gens, avides de tout, des autres, de passion, d’amour, d’amitié, de nouveauté, de nature, d’enfant même ! Mais tout cela ne se conjugue malheureusement pas sans heurts, tout comme se construisent de jeunes adultes. Magistral !
Par Gillette
le 23 janvier 2020
Dévorer le ciel
Bon roman mais contrairement aux avis précédents il n'a provoqué aucune émotion en moi. J'ai été .... déçue.
Par Monik
le 28 février 2020
Dévorer le ciel
Ce roman m’a laissé un sentiment très mitigé et je suis passée complètement à côté. Pourtant ces jeunes adolescents, dans leur ferme au fin fond des Pouilles, devenus des adultes idéalistes et utopiques avec leur rêve communautaire dans une exploitation en symbiose avec la nature auraient dû me toucher. Mais les personnages ne m’ont pas été sympathiques à commencer par Teresa, sans grande personnalité, qui quitte le confort de sa vie dans une famille aisée pour vivre son amour pour Bern. Pas d’empathie non plus pour ce groupe et son refus du monde matérialiste mais bien content de partager l’héritage de Teresa, qui elle-même ne survivra, lorsqu’elle se retrouvera seule à la ferme, que grâce à la pension que lui verse son père. Enfin j’ai trouvé les rapports entre les personnages vraiment malsains et la fin invraisemblable en Islande m’a laissée dubitative. Et pourtant je l’ai lu sans le lâcher…
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