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Couverture de De nos frères blessés

De nos frères blessés

Joseph Andras

Alger, 1956. Jeune ouvrier communiste anticolonialiste rallié au FLN, Fernand Iveton a déposé dans son usine une bombe qui n'a jamais explosée. Pour cet acte symbolique sans victime, il est exécuté le 11 février 1957, et restera dans l'Histoire comme le seul Européen guillotiné de la guerre d'Algérie. Ce roman …

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Description

Titre(s)
De nos frères blessés
Auteur(s)
Joseph Andras (Auteur)
Collation
1 vol. (139 p.)
Centre(s) d'intérêt
EnfanceGuerre d'Algérie (1954-1962)Peine de mortProcèsTerrorismeRoman historique
Collection(s)
Domaine français
Année
2016
Genre
Roman
Identifiant
2-330-06322-9
Langue(s)
français
Résumé
Alger, 1956. Jeune ouvrier communiste anticolonialiste rallié au FLN, Fernand Iveton a déposé dans son usine une bombe qui n'a jamais explosée. Pour cet acte symbolique sans victime, il est exécuté le 11 février 1957, et restera dans l'Histoire comme le seul Européen guillotiné de la guerre d'Algérie. Ce roman brûlant d'admiration, tendu par la nécessité de la justice et cinglant comme une sentence, lui rend hommage.
Prix
17 EUR
Editeur(s)
Actes sud

Avis

Des lecteurs

Par Miquel
le 13 juillet 2016
De nos frères blessés
Premier roman de Joseph Andras, De nos frères blessés, aborde le parcours de Fernand Iveton, seul européen condamné à mort de l'épisode de la guerre d'Algérie. Condamné donc, pour avoir posé une bombe dans son usine sans avoir l'intention de tuer quiconque (une bombe qui d'ailleurs, n'a pas explosé et n'a donc fait aucune victime). Avec ce texte court (un peu plus d'une centaine de pages), Joseph Andras parvient parfaitement à rendre compte de l'ambiance d'une guerre civile qui ne dit pas son nom. On retrouve ce qui fait à mon sens de la guerre d'Algérie une formidable matrice littéraire (certes dramatique), une ambiance de colonialisme tardif aux inégalités insupportables, un état français incapable de gérer la situation, des tensions affectives immenses, un cocktail dramatique qui aboutit à une violence impensable, entre tortures, exécutions et mises en scènes macabres. Un roman un peu court cependant, qui certes construit parfaitement le personnage de Fernand mais qui oubli peut-être de creuser ce qui le conduit à s'engager et à passer à l'acte. MS.
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