Heimaey
Ian Manook
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Exemplaires
Merci de patientier
Description
- Titre(s)
- Heimaey
- Auteur(s)
- Ian Manook (Auteur)
- Collation
- 1 vol. (464 p.)
- Centre(s) d'intérêt
- Islande (Scandinavie)Littérature françaisePère // FilleDisparitionAffaire classée
- Année
- 2018
- Genre
- Roman policier
- Identifiant
- 2-226-43840-8
- Langue(s)
- français
- Prix
- 22 EUR
- Editeur(s)
- Albin Michel
Avis
Des lecteurs
le 06 octobre 2019
HEIMAE
Ian Manook aime les grands espaces. La Mongolie racontée par lui dans Yeruldelgger précédemment, vous a peut être, comme moi, donné envie d’aller voir ces espaces infinis. Ici il nous emmène en Islande, dans un long périple autour de l’île.
Ce voyage, Soulniz l’a fait 40 ans auparavant. Un périple joyeux, avec des potes rencontrés là bas, mais qui s’est terminé tragiquement. Ce périple, 40 ans après, Soulniz le fait avec sa fille Rebecca avec qui il était en froid depuis longtemps. Un voyage initiatique en quelque sorte, pour renouer le lien distendu des relations Père - Fille. Mais très vite, des incidents se multiplient, qui irritent puis inquiètent Jacques Soulniz et Rebecca….. Or celle-ci va disparaître. Commence alors une longue chasse pour retrouver sa fille.
L’Islande est le personnage principal de ce roman, une Islande magiquement belle, remplie de couleurs, même si les noirs et gris de la lave des volcans sont omniprésents dans toutes les nuances possibles. Il y a aussi la gamme des orangers, des verts des solfatares, des geysers ; les cascades prodigieuses, les volcans, les glaciers. De points en points entraînés dans un jeu de piste démoniaque, aidés par un inspecteur islandais en galère lui aussi, grand comme un troll, et qui chante le Krommavisur à pleine voix.
Les personnages sont très bien campés, et dans cette île très isolée pendant longtemps, ils entretiennent toute une mythologie et des superstitions parfois terribles et dangereuses pour l’étranger.
Le rythme est soutenu bien que parfois des éléments secondaires soient introduits qui mènent dans des voies sans issue qui ne sont pas toujours utiles, à mon sens bien sûr.
L’ensemble néanmoins est bien mené, intéressant et complexe ; truculent même par moment, et on apprend beaucoup sur les mœurs islandaises simples, naturelles, sans complexe. Il y a des passages très drôles.
J’ai retrouvé l’Islande que j’ai visitée il y a 5 ans avec bonheur. Dans ce pays magnifique, que j’ai trouvé très désert en êtres humains, Manook a campé des Hommes qui vivent au milieu de cette nature étrange et terrifiante, qui n’ont pas la prétention de l’apprivoiser, tant elle est forte et écrasante. Un très bon suspense ! qui se lit d’une traite.
Un dernier mot. Sur You Tube ou simplement sur Internet cherchez « Krommavisur », ce chant ancien, étrange et somptueux. Et écoutez le !
Ce voyage, Soulniz l’a fait 40 ans auparavant. Un périple joyeux, avec des potes rencontrés là bas, mais qui s’est terminé tragiquement. Ce périple, 40 ans après, Soulniz le fait avec sa fille Rebecca avec qui il était en froid depuis longtemps. Un voyage initiatique en quelque sorte, pour renouer le lien distendu des relations Père - Fille. Mais très vite, des incidents se multiplient, qui irritent puis inquiètent Jacques Soulniz et Rebecca….. Or celle-ci va disparaître. Commence alors une longue chasse pour retrouver sa fille.
L’Islande est le personnage principal de ce roman, une Islande magiquement belle, remplie de couleurs, même si les noirs et gris de la lave des volcans sont omniprésents dans toutes les nuances possibles. Il y a aussi la gamme des orangers, des verts des solfatares, des geysers ; les cascades prodigieuses, les volcans, les glaciers. De points en points entraînés dans un jeu de piste démoniaque, aidés par un inspecteur islandais en galère lui aussi, grand comme un troll, et qui chante le Krommavisur à pleine voix.
Les personnages sont très bien campés, et dans cette île très isolée pendant longtemps, ils entretiennent toute une mythologie et des superstitions parfois terribles et dangereuses pour l’étranger.
Le rythme est soutenu bien que parfois des éléments secondaires soient introduits qui mènent dans des voies sans issue qui ne sont pas toujours utiles, à mon sens bien sûr.
L’ensemble néanmoins est bien mené, intéressant et complexe ; truculent même par moment, et on apprend beaucoup sur les mœurs islandaises simples, naturelles, sans complexe. Il y a des passages très drôles.
J’ai retrouvé l’Islande que j’ai visitée il y a 5 ans avec bonheur. Dans ce pays magnifique, que j’ai trouvé très désert en êtres humains, Manook a campé des Hommes qui vivent au milieu de cette nature étrange et terrifiante, qui n’ont pas la prétention de l’apprivoiser, tant elle est forte et écrasante. Un très bon suspense ! qui se lit d’une traite.
Un dernier mot. Sur You Tube ou simplement sur Internet cherchez « Krommavisur », ce chant ancien, étrange et somptueux. Et écoutez le !
le 20 décembre 2019
Road movie décoiffant avec des personnages attachants, le tout dans des paysages somptueux... Recette infaillible, j'ai passé un très bon moment de lecture! et j'ai envie de retourner en Islande c'est malin!