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Exemplaires

Merci de patientier

Description

Titre(s)
Pas pleurer
Auteur(s)
Lydie Salvayre (Auteur)
Collation
1 vol. (278 p.)
Centre(s) d'intérêt
Guerre d'Espagne (1936-1939)Roman choraleRoman historique
Année
2014
Genre
Roman
Identifiant
2-02-111619-0
Langue(s)
français
Résumé
Deux voix entrelacées. Celle, révoltée, de Georges Bernanos, témoin direct de la guerre civile espagnole, qui dénonce la terreur exercée par les nationalistes avec la bénédiction de l'Eglise catholique contre les " mauvais pauvres ". Son pamphlet, Les Grands cimetières sous la lune, fera bientôt scandale. Celle, roborative, de Montse, mère de la narratrice et " mauvaise pauvre ", qui, soixante-dix ans après les événements, a tout gommé de sa mémoire, hormis les jours radieux de l'insurrection libertaire par laquelle s'ouvrit la guerre de 36 dans certaines régions d'Espagne, des jours que l'adolescente qu'elle était vécut dans la candeur et l'allégresse dans son village de Haute Catalogne. Deux paroles, deux visions qui résonnent étrangement avec notre présent, comme enchantées par l'art romanesque de Lydie Salvayre, entre violence et légèreté, entre brutalité et finesse, portées par une prose tantôt impeccable, tantôt joyeusement malmenée.
Prix
17,50 EUR
Editeur(s)
Le Seuil

Avis

Des lecteurs

Par Monik
le 01 décembre 2014
pas pleurer
L'auteur fait revivre l'année 1936 début de la guerre civile en Espagne, seul souvenir de sa mère aujourd'hui âgée. Malgré un peu trop de phrases écrites en Espagnol sans aucune traduction, et une première partie un peu longue cet écrit reste prenant. MK
Par Danielle
le 15 novembre 2015
PAS PLEURER
Ce roman nous plonge dans une très courte période de la guerre d'Espagne - 1936. Deux voix dans cette histoire. Celle de Bernanos, écrivain profondément catholique qui en vient à dénoncer la bénédiction de l'église aux actes de terreur commis. Celle de Montse la mère de l'auteur, une mauvaise pauvre qui 75 ans après ne se rappelle de toute sa vie que cette année qui fut pour elle la plus belle ; celle de l'émancipation, de la liberté, de l'amour. L'auteur, psychiatre également, fait parler Montse comme elle parle aujourd'hui dans la vie courante, un espagnol francisé, ce qui donne un ton très intime au roman. Les deux points de vues développés au fil du roman sur les événements sont très intéressants.
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