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Description

Titre(s)
Le chat andalou
Auteur(s)
Eugen Ruge (Auteur)Pierre Deshusses (Traducteur)
Collation
1 vol. (147 p.)
Centre(s) d'intérêt
FuiteQuêteSolitudeLittérature allemande
Année
2015
Genre
Roman
Identifiant
2-365-69142-0
Langue(s)
français
Résumé
Le nouveau roman de l'auteur de Quand la lumière décline, " joyau allemand " de la rentrée littéraire 2012, raconte l'histoire d'une quête silencieuse. Au lendemain du nouvel an, un homme décide de tout quitter : Berlin, son ex-femme et sa belle-fille. Sans beaucoup plus qu'un hamac et quelques vêtements dans ses valises, il part vers le sud. Le hasard le conduit à Cabo de Gata, un village de pêcheurs perdu sur la côté méditerranéenne de l'Espagne. Seul hôte de la pension locale tenue par une vieille veuve, l'homme décide de rester dans ce village balayé par les vents pour y écrire un livre. Il passe ses journées à observer la vie qui se joue sous ses yeux, les allées et venues des hommes, des mouettes et des bateaux. De temps à autre, la rencontre avec un touriste de passage vient perturber cette routine à laquelle l'étranger commence à prendre goût. Mais à Cabo de Gata, personne ne semble comprendre le nouveau venu. Personne, à part un chat. Porté par une douce torpeur, Le Chat andalou raconte l'histoire d'une quête solitaire. Avec la subtilité et la finesse qui le caractérisent, Eugen Ruge, dans la lignée de Georges Perec, voit la beauté dans les détails du quotidien.
Prix
16,90 EUR
Editeur(s)
Les Escales

Avis

Des lecteurs

Par Monik
le 20 janvier 2016
Le chat andalou
Le narrateur, devenu auteur à succès, nous conte son départ de Berlin, en pleine crise existentielle, divorcé, sans argent, en panne dÆinspiration, pour Cabo de Gata en Andalousie. Arrivé au début de lÆhiver, avec un accueil pour le moins peu chaleureux des autochtones, il va les observer, errer, regarder les mouettes et les flamands roses. Puis il y aura sa rencontre avec une petite chatte rousseà.Le livre dégage un immense ennui qui se dispute à lÆagacement du fait de cette répétition lancinante « je me souviens ». LÆécriture manque vraiment de relief. MK
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